Gaza : les limites de l’enjeu diplomatique
L’Opération Bordure Protectrice a été la troisième opération de grande envergure menée par Tsahal depuis que l’armée israélienne s’est retirée unilatéralement de ce territoire en août 2005.
Chaque opération militaire dans la bande de Gaza a été lancée en raison du fragile cessez-le-feu et en réponse au déluge de roquettes tirées par les Palestiniens sur les villages israéliens. La dernière opération fut plus menaçante et meurtrière avec la découverte de tunnels servant de réseaux d’attaque sur le territoire israélien. Cette menace existentielle n’avait jamais été soulevée auparavant dans les propositions de cessez-le-feu faites par un tiers.
L’enjeu diplomatique fut en effet unique cette fois-ci en comparaison avec les différents accords d’armistice signés entre Israël et les Etats arabes depuis 1949, soigneusement négociés par des résolutions de l’ONU ou même dans le cas de la signature des Accords d’Oslo entre Israël et l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP). La partie arabe et Israël étaient liés à leurs engagements internationaux tout en gérant le conflit même s’ils n’avaient ni relations diplomatiques ni contacts directs.
En revanche, le territoire de la bande de Gaza, passé depuis 2007 sous le contrôle du Hamas, n’est pas une entité reconnue comme un Etat. Le Hamas, qui a pris le pouvoir par la force, opère en dehors du cadre de la communauté internationale. Les Occidentaux n’ont aucun lien public avec lui. Au contraire, ce mouvement palestinien a été désigné organisation terroriste internationale par les Etats-Unis, le Canada, l’Union européenne et d’autres pays. Récemment, des Etats arabes comme l’Egypte, l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis ont également déterminé que la confrérie des Frères musulmans, dont fait partie le Hamas, était une organisation terroriste.
Au Moyen-Orient, les principaux pays qui soutiennent le Hamas sont le Qatar, la Turquie et l’Iran. Ce dernier apporte non seulement un soutien économique mais fournit aussi des armes et entraîne les combattants du Hamas. Ces pays n’ont jamais voulu mettre un terme à l’escalade régionale, mais à bien des égards ils ont agi pour l’alimenter.
Alors que des juristes internationaux exigent des mouvements non étatiques de se soumettre aux normes du Droit international humanitaire, le Hamas refuse d’être lié par des conventions internationales ou des résolutions de l’ONU. Il a par exemple écarté l’applicabilité de la Troisième Convention de Genève et n’a pas respecté les exigences qui permettaient à la Croix-Rouge des visites de détenus ou de prisonniers, comme ce fut le cas avec le soldat franco-israélien Guilad Shalit.[1]
En réalité, l’enjeu diplomatique dans ce conflit est par définition bien limité.[2] La diplomatie n’a joué qu’un rôle insignifiant pour éviter le déclenchement de la dernière phase terrestre de l’Opération Bordure Protectrice. Les diplomates ne pouvaient exercer de fortes pressions sur le Hamas ou sur les pays qui le soutenaient afin qu’il applique sans délai un cessez-le-feu viable.
John Kerry téléphonant depuis son hôtel du Caire à Benjamin Nétanyahou, le 25 juillet 2014
pour lui proposer un cessez-le-feu (AP/Dharapak)
D’autre part, le Hamas ne s’estime pas lié aux accords signés par l’OLP, comme les Accords d’Oslo de 1993. Il a rejeté les demandes de la communauté internationale pour les reconnaître, refuse en outre d’arrêter ses attaques contre Israël et ne reconnaît pas son droit à exister ; trois conditions que les Etats-Unis, la Russie, l’Union européenne et le Secrétariat de l’ONU ont exigé du Hamas avant toute reconnaissance.
Les trois cessez-le-feu conclus avec le Hamas grâce à la médiation égyptienne ne furent pas des accords d’armistice signés entre Etats appliquant le Droit international. Le Hamas les avait décrits comme un tahdiya. Il a parlé d’« accalmie », de « calme » ou d’houdna, un terme islamique pour désigner une trêve qui peut être rompue.[3]
Selon Ahmad Yousef, conseiller du Premier ministre Ismaïl Haniyeh, en employant le terme minimaliste de tahdiya, le Hamas ne voulait pas cesser ses opérations militaires et souhaitait maintenir la « résistance » (muqawama) contre Israël. Pour cette raison, le combat du Hamas contre Israël n’est pas territorial mais existentiel, et de ce fait, la diplomatie classique ne peut s’appliquer à la lettre. Notons qu’à la suite du retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza, les tirs de roquettes, au lieu de diminuer, ont augmenté de 500 %.
Ainsi, la racine du conflit avec le Hamas et le Jihad islamique réside moins dans une question territoriale que dans des facteurs idéologiques et religieux ancrés au sein des organisations palestiniennes.[4]
La Troisième guerre à Gaza et l’ONU
Compte-tenu des limites de la diplomatie traditionnelle, le Hamas a demandé à bénéficier de cadres multilatéraux, comme les Nations unies. En janvier 2009, à la fin de l’Opération Plomb Durci à Gaza, le Conseil de Sécurité de l’ONU a adopté la résolution 1860. Cette résolution n’a pas condamné le Hamas pour avoir déclenché les hostilités et tiré des milliers de roquettes sur Israël. Elle n’a rien dit, non plus, sur le sort du soldat franco-israélien capturé Guilad Shalit. En fait, le texte de cette résolution n’a même pas mentionné le Hamas ni ses responsabilités pour éviter l’escalade. La résolution a été automatiquement rejetée par le gouvernement israélien.
Nous voyons donc comment les Nations unies pouvaient facilement tomber dans le piège et être utilisées par le Hamas par le biais d’Etats disposés à plaider sa cause, mais en réalité pour bénéficier d’un avantage diplomatique.[5]
Durant l’Opération Bordure Protectrice, qui a duré plus de 50 jours, plusieurs fonctionnaires des agences de l’ONU semblaient prêt à réciter aveuglément les revendications du Hamas lors de leurs interventions publiques.
La Commissaire des Nations unies pour les droits de l’Homme, Navi Pillay, a déclaré le 23 juillet 2014, que « 74 % des personnes tuées à Gaza n’étaient que des civils. »
Comment pouvait-elle l’affirmer puisque, à ce moment des combats il n’y avait aucun moyen de le savoir clairement ? Ce chiffre, soi-disant exact, s’est répandu comme une traînée de poudre dans les médias internationaux et fut notamment repris par les commentateurs de la BBC et de CNN, sans aucune vérification préalable.[6]
Par la suite, on apprenait que ce chiffre était totalement dénué de fondement.[7] Cela prouve une fois encore que l’ONU tente à chaque fois, par des moyens non fondés, de promouvoir des préjugés contre Israël.
Le rôle de l’UNRWA
L’UNRWA, responsable de l’aide humanitaire dans les camps de réfugiés palestiniens, emploie près de 20 000 Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza. En 2003, ses employés ont voté massivement pour des candidats du Hamas aux élections syndicales de l’Organisation onusienne, indiquant l’influence importante du mouvement palestinien déjà à cette époque.
Une autre agence de l’ONU, le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), plaçait régulièrement des fonds, via la Banque arabe, à des institutions bien connues pour leur soutien au Hamas comme le « Comité de bienfaisance de Tulkarem. »[8]
L’UNRWA n’est plus un organisme indépendant de l’ONU dès lors qu’il intervient politiquement dans un conflit armé.
Margot Ellis, commissaire adjoint de l’UNRWA, s’est plainte, lors d’une réunion avec des bailleurs de fonds, de manque de matériaux de construction dans la bande de Gaza, soulignant « le blocus illégal imposé par Israël ». Elle a ajouté que le blocus a « ignoré l’urgence de construire des écoles et des abris. » En revanche, Ellis a omis de dire que le Hamas utilisait les fournitures de bâtiment pour son vaste réseau de tunnels, dont l’étendue a été révélée par l’Opération Bordure Protectrice.[9]
Durant toute l’opération militaire, l’UNRWA a joué un rôle qui la place clairement du côté du Hamas. A trois reprises, des roquettes palestiniennes ont été stockées dans des écoles de l’UNRWA : les 16, 22 et 29 juillet. Plus grave, après leur découverte, ces roquettes ont été remises par l’UNRWA au Hamas.[10]
Cet arsenal meurtrier a été utilisé contre des villages israéliens. Le Hamas a même osé tirer à proximité des installations des Nations unies, par exemple contre l’école primaire al-Manar dans le quartier de Zeitoun ou contre l’Office de Distribution et le Centre médical de Jabaliya.
Un autre incident révélateur concerne l’école de l’UNRWA à Beit Hanoun, située dans la partie nord de la bande de Gaza, qui a servi d’abri aux résidents de la ville. Le 24 juillet, l’école a été touchée par des obus de mortier et de roquettes. L’UNRWA avait alors tenté de négocier avec les forces israéliennes pour faire « une pause dans les combats et pouvoir garantir un corridor sécurisé afin de transférer le personnel et les familles déplacées ».[11] Le porte-parole de l’UNRWA, Chris Gunness, avait accusé injustement Israël sur les réseaux sociaux en parlant de « non réponse de la part de Tsahal ».
L’armée israélienne a contesté avec véhémence ces propos, affirmant que Gunness avait passé un message à la Croix-Rouge pour faire évacuer les civils de Beit Hanoun entre 10h et 14h, mais que le Hamas a empêché catégoriquement leur évacuation.[12] Néanmoins, le 6 décembre 2014, le Procureur général de Tsahal a ordonné une enquête approfondie.[13]
Les commissions d’enquête des Nations unies
L’ONU a également joué un rôle particulier dans la bande de Gaza par le biais de la création de commissions d’enquête portant principalement sur des allégations de crimes de guerre contre Tsahal. En 2009, le Conseil des droits de l’Homme a nommé un juge sud-africain, Richard Goldstone, pour diriger une telle commission.
Pourtant le Secrétaire général de l’ONU de l’époque, Kofi Annan, avait pointé les préjugés de ce Conseil, affirmant : « depuis le début, ses membres se sont concentrés presque exclusivement sur Israël, sans pour autant enquêter sur d’autres pays tel que le Soudan ».[14] Cette conduite partiale du Conseil des droits de l’Homme s’est poursuivie. Il a refusé d’ouvrir une enquête sur la guerre du Sri Lanka contre les Tamouls, où le nombre de victimes a été dix fois plus élevé que dans la dernière opération à Gaza.
Au cours de l’Opération Bordure Protectrice, le Conseil des droits de l’Homme a appelé à créer une Commission d’enquête sur les « violations du Droit international humanitaire » par Israël. Il a choisi le Professeur William Schabas, un universitaire canadien, pour la présider.[15]
Les commissions de la mission d’enquête du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies ont commis plusieurs erreurs fondamentales. Le Hamas avait en effet falsifié des incidents locaux, conduisant le rapport Goldstone à conclure, par exemple, que l’aviation israélienne avait attaqué un vieux moulin à farine dans le but d’affamer la population palestinienne. Israël avait répondu que l’Armée de l’air n’avait attaqué, selon ses propres registres, un seul moulin.[16]
En réalité, la Commission Goldstone a interrogé des témoins palestiniens ayant répondu aux questions sous le regard attentif des représentants du Hamas. En dépit des défaillances flagrantes, les membres d’une commission d’enquête des Nations unies étaient, sans rougir, capables de tirer des conclusions incriminant Israël. Ce n’est que plus tard que le juge Goldstone avait reconnu le tort commis aux Israéliens et les faiblesses juridiques de sa propre commission d’enquête.[17]
Néanmoins, malgré son mea culpa, le rapport Goldstone était prêt à faire des recommandations juridiques et à remettre des dossiers à la Cour pénale internationale
Une autre erreur flagrante commise par les commissions d’enquête du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU est la publication préalable de leurs conclusions. Prenons par exemple la Résolution S-21/1, adoptée le 23 juillet 2014, désignant la Commission Schabas. Dans le paragraphe 2, cette résolution « condamne les violations générales, systématiques et flagrantes des droits de l’Homme et des libertés fondamentales découlant des opérations militaires israéliennes… particulièrement lors de la dernière opération militaire de grande envergure dans la bande de Gaza. »
La résolution fait ensuite référence aux « attaques disproportionnées et indiscriminées » menées par Israël ainsi que par le « ciblage de civils innocents ». En d’autres termes, le mandat donné à la Commission Schabas contenait d’ores et déjà des conclusions que le Conseil des droits de l’Homme avait dictées a priori.[18]
Le rôle des pays tiers
Durant les différents conflits avec les Palestiniens ou le Hezbollah, plusieurs pays tiers ont souvent tenté de servir d’intermédiaire pour aboutir à un cessez-le-feu. Dans le cas du Hamas dans la bande de Gaza, l’Egypte a joué un rôle constructif et sa médiation a permis des compréhensions indirectes pour aboutir à une trêve, une tahdiya. La mise en place sécuritaire égyptienne a également contribué permis de trouver des modalités applicables pour libérer le soldat israélien Guilad Shalit des mains du Hamas.
Sous l’administration Clinton, et bien que la Syrie était le fournisseur d’armes du Hezbollah, les Etats-Unis ont considéré Damas comme une force d’influence sur le mouvement chiite libanais pour rétablir un cessez-le-feu avec Israël. Rappelons que la Syrie avait en 1996 participé à un comité international de surveillance au Sud-Liban dont la mission était de surveiller l’application des accords de cessez-le-feu.
Au cours de l’Opération Bordure Protectrice, l’Egypte a certes exigé d’Israël de « cesser toutes les hostilités dans la bande de Gaza et de s’abstenir de lancer des raids contre la population civile » mais, parallèlement, elle a également insisté pour que « toutes les factions palestiniennes cessent leur attaques contre Israël en s’engageant à s’abstenir de tirer sur les villages israéliens ».
La proposition égyptienne exigeait une trêve absolue et inconditionnelle. Elle ne garantissait pas au Hamas la construction d’un port ou d’un aéroport et ainsi le mouvement palestinien a rejeté d’un bloc la proposition égyptienne, alors qu’Israël l’avait acceptée. C’est pour cette raison que le Hamas est responsable de la marche vers ce qui a abouti, juste après le 15 juillet, à la désolation dans la bande de Gaza. La guerre aurait pu être arrêtée.
Dans une interview publiée par le quotidien égyptien al-Akhbar, le 30 novembre 2014, le Président palestinien Mahmoud Abbas avait accusé le Hamas en affirmant clairement son « obstination » et sa « responsabilité dans la destruction ».[19] Quant à Khaled Mechal, le chef du bureau politique du Hamas, il a exprimé sa profonde déception face aux déclarations d’Abbas, réfutant ainsi l’idée qu’une médiation égyptienne aurait pu empêcher la mort de milliers de Palestiniens.
Israël a évalué que la majorité écrasante des Palestiniens tués durant la guerre le furent après que l’offre égyptienne de cessez-le-feu ait été rejetée par le Hamas.[20] Nombre d’indices montrent que la conduite du Hamas a surtout été influencée par le Qatar, qui cherchait à torpiller toute trêve entre les belligérants. Une analyse parue dans le quotidien al-Hayat indique que le Qatar avait menacé d’expulser Khaled Mechal s’il acceptait les propositions égyptiennes.
La Turquie a aussi tenté d’influer sur les décisions du Hamas. Déjà en 2006, Ankara avait autorisé le Hamas à établir un « centre opérationnel » en territoire turc.[21] Dans ce contexte, il est clair que la diplomatie a bien du mal à empêcher l’escalade de la guerre et à faire cesser les hostilités.[22]
Dore Gold
Retrouvez ici l’intégralité de notre brochure “Toute la vérité sur la guerre de Gaza”.
Notes
[1] Ido Rosenzweig et Youval Indra, « Réponse du Hamas au rapport Goldstone », Institut d’études sur la démocratie israélienne, 4 février 2010.
[2] Adnan Abou Amer, « Le Hamas cherche à conserver ses liens saoudiens », Al monitor, 18 mars 2014 : ixzz3Kiulqhre http://www.Al-Monitor.com/Pulse/Originals/2014/03/Hamas-Saudi-Muslim-Brotherhood-Qatar-Terror.html## ; voir aussi Segall Horowitz, « Responsabilité du Hamas dans le Droit international humanitaire », JCPA-CAPE, 16 juin 2009 : http://jcpa.org/article/accountability-of-the-hamas-under-international-humanitarian-la/
[3] Selon le Grand mufti saoudien, Cheikh Abdul Aziz bin Baz, toute houdna (cessation des hostilités) n’est que temporaire car selon lui « la paix entre les musulmans de Palestine et les Juifs ne signifie pas que les Juifs détiendraient en permanence les terres qu’ils possèdent, mais plutôt qu’ils seraient en possession de ces terres pour une période déterminée jusqu’au jour où la Houdna s’achèvera et que les musulmans deviendront assez forts pour chasser les Juifs de leur terres », in Dore Gold, Le Royaume de la haine : comment l’Arabie saoudite prend en charge le nouveau terrorisme mondial, Washington DC, Regnery Publishing Inc., 2003, pp. 195-196.
[4] Yigal Carmon et C. Jacob, « Parallèlement à son idéologie islamiste, le Hamas présente des positions pragmatiques », MEMRI rapport d’analyse, n° 322, 6 février 2007 ; voir aussi « L’initiative égyptienne pour une trêve », 5 mai 2008, Intelligence and Terrorism Information Center (IICC) : http://www.terrorism-info.org.il/data/pdf/PDF_08_124_2.pdf
[5] Elliot Abrams, L’Administration Bush et le conflit israélo–palestinien, Cambridge University Press, 2013, pp. 300-301.
[6] « Déclaration de Navi Pillay, Haut-Commissaire aux droits de l’Homme : « situation des droits de l’Homme dans le territoire occupé palestinien, y compris Jérusalem-est » : http://www.ohchr.org/en/Newsevents/pages/displaynews.aspx?newsid=14893&langId=E
[7] « Examen des noms de Palestiniens tués lors de l’Opération Bordure Protectrice », Intelligence and Terrorism Information Center, 1er décembre 2014 : sur les 1 007 morts qui ont pu être identifiés, 52 % sont des terroristes et 48% sont des civils non impliqués dans les combats : http://www.Terrorism-info.org.il/en/article/20734
[8] Dore Gold, Tour de Babel : comment l’Organisation des Nations unies a alimenté les chaos planétaire, New York, Three Rivers Press, 2005, p. 287.
[9] Claudia Rosett, « L’ONU : désarroi ou complicité à Gaza ? », National Review Online, 4 septembre 2014 : http://www.nationalreview.com/article/387022/un-clueless-or-complicit-gaza-claudia-rosett#comments
[10] Raphael Ahren, 20 juillet 2014 : http://www.timesofisrael.com/un-Agency-handed-Rockets-Back-to-Hamas-Israel-Says/
[11] Déclaration du Commissaire général de l’UNRWA, Pierre Krähenbühl, 24 juillet 2014 : http://www.UNRWA.org/newsroom/Official-Statements/Statement-UNRWA-Commissioner-General-Pierre-kr%C3%A4henb%C3%BChl
[12] Adam Kredo, « mensonge sur les victimes civiles de Gaza », 24 juillet 2014 : http://freebeacon.com/National-Security/IDF-Calls-out-un-for-Lying-about-Gaza-Civilian-Casualties/
[13] Communiqué de Tsahal : 6 décembre 2014 : http://www.idfblog.com/blog/2014/12/06/decisions-regarding-exceptional-incidents-occurred-Operation-Protective-Edge/
[14] Benny Avni, « Annan critique des résolutions du Conseil des droits de l’Homme sur Israël », New York Sun, 29 novembre 2006 : http://www.nysun.com/Foreign/Annan-criticizes-Human-Rights-Councils/44260/
[15] Peter Berkowitz, 28 novembre 2014 : http://www.RealClearPolitics.com/Articles/2014/11/28/assault_on_israel_shifts_from_warfare_to_lawfare_124748.html
[16] Ministère israélien des Affaires étrangères, « Enquêtes sur l’opération à Gaza », juillet 2010, pp. 30-31 : http://www.mfa.gov.il/MFA/ForeignPolicy/Terrorism/pages/gaza_operation_investigations_second_update_july_2010.aspx
[17] Gal Beckerman, « L’affaire Goldstone : 7 octobre 2009 » : http://Forward.com/Articles/116269/Goldstone-if-this-was-a-court-of-Law-There-Wou/
[18] Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, S-21/1, 23 juillet 2014 : http://www.ohchr.org/en/Newsevents/pages/displaynews.aspx?newsid=14934&langId=E
[19] « Interview de Mahmoud Abbas », MEMRI, 5 décembre 2014 : http://www.memri.org/report/en/0/0/0/0/0/0/8323.htm
[20] Ministère israélien des Affaires étrangères, 19 août 2014 http://MFA.gov.il/MFA/ForeignPolicy/Terrorism/pages/Protective-Edge-Hamas-violations-of-ceasefires-Chronology.aspx
[21] Joshua Mitnick et Mohammed Najob, « La terreur du Hamas en Cisjordanie », Wall Street Journal, 27 novembre 2014 : http://m.wsj.com/Articles/Hamas-Terror-Network-Uncovered-in-Israel-1417086249?mobile=y
[22] Adam Schreck, « Les critiques contre le Qatar », Globe and Mail, 21 août 2014 : http://www.theglobeandmail.com/News/World/Qatar-criticized-As-Gaza-Ceasefire-Talks-Collapse/article20148907/
Pour citer cet article :
Dore Gold, « Gaza : les limites de l’enjeu diplomatique », Le CAPE de Jérusalem : http://jcpa-lecape.org/gaza-les-limites-de-lenjeu-diplomatique/