La guerre contre le Hamas est inévitable
La dernière guerre contre le Hamas dans la bande de Gaza était prévisible. Un scénario qui se répète à chaque fois depuis de longues années et ne trouve plus d’issue. Perplexe, le gouvernement actuel ne donne pas de réponses claires et nettes. Il se trouve dans un grand dilemme sur la marche à suivre. La situation actuelle ne peut plus durer car l’immobilisme montre que faiblesse, et encourage le Hamas.
La crainte de s’aventurer dans une attaque de grande envergure ne doit pas être la devise de l’Etat juif. Depuis sa création, Israël a surpris le monde par des coups audacieux et spectaculaires. Le syndrome de la Deuxième guerre du Liban doit être effacé des esprits. Que faire? Les réponses sont claires face à l’ennemi implacable. La riposte doit être foudroyante! Comment se croiser les bras et se retenir face à la pluie des roquettes? Aucun pays au monde ne peut tolérer un bombardement systématique contre son propre territoire. Il est souverain. Le Hamas n’attaque pas un territoire occupé! Israël s’est déjà retiré de toute la bande de Gaza. Aucun prétexte n’existe! Sdérot, les villages et les kibboutzim qui souffrent quotidiennement sont des localités qui ont été construites et fleuries par des pionniers, par des laboureurs, et dans le sillon de la paix.
Gaza est maudite. Elle est devenue un pays terroriste et notre ennemi numéro un. Ses dirigeants actuels cultivent la haine et la violence. Ils ne changeront pas tant que les ayatollahs, les Ben Laden, le Hezbollah et les “Frères musulmans” existeront. Les médias occidentaux se trompent en qualifiant ces terroristes, de militants ou activistes comme s’ils étaient des supporters brandissant des banderoles d’un mouvement pacifiste ou des colleurs d’affiches. Leurs appels désespérés pour la reconduite à une trêve conditionnée, ne sont que d’ordre tactique et sont destinés à attirer l’attention internationale, pour pouvoir gagner du temps et amasser de nouvelles armes. C’est clair et éloquent. Nous piétinons toujours sur le terrain et l’espoir agonise. La politique du bâton et de la carotte avec les Palestiniens ne marche plus. Des négociations avec cette organisation qui prône notre destruction ne riment absolument à rien. Une perte de temps et d’énergie. Les tractations sont vouées par avance à l’échec comme elles l’ont été avec les fameux Accords d’Oslo.
Jérusalem devrait changer fondamentalement sa politique vis-à vis du Hamas. Changer de discours et prendre des décisions graves et courageuses sans prendre de considération extérieure. Seule la sécurité des citoyens israéliens compte! Résister aux pressions internationales, européennes ou américaines. Agir en priorité dans l’intérêt de l’Etat juif et mettre un terme, par tous les moyens possibles, au pouvoir terroriste du Hamas. Durant les 6 derniers mois nous avons appliqué la trêve en grinçant les dents. Nous souhaitons l’accalmie, mais il existe des limites, des lignes rouges et des prix à ne pas payer.
L’Etat a le devoir d’assurer la sécurité de ses citoyens. Un enfant israélien doit pouvoir aller à l’école avec le sourire et sans craintes et pouvoir dormir toutes les nuits sans faire de cauchemar. Cette assurance est notre force de dissuasion et devrait être notre devise.
La crainte de s’aventurer dans une attaque de grande envergure ne doit pas être la devise de l’Etat juif. Depuis sa création, Israël a surpris le monde par des coups audacieux et spectaculaires. Le syndrome de la Deuxième guerre du Liban doit être effacé des esprits. Que faire? Les réponses sont claires face à l’ennemi implacable. La riposte doit être foudroyante! Comment se croiser les bras et se retenir face à la pluie des roquettes? Aucun pays au monde ne peut tolérer un bombardement systématique contre son propre territoire. Il est souverain. Le Hamas n’attaque pas un territoire occupé! Israël s’est déjà retiré de toute la bande de Gaza. Aucun prétexte n’existe! Sdérot, les villages et les kibboutzim qui souffrent quotidiennement sont des localités qui ont été construites et fleuries par des pionniers, par des laboureurs, et dans le sillon de la paix.
Gaza est maudite. Elle est devenue un pays terroriste et notre ennemi numéro un. Ses dirigeants actuels cultivent la haine et la violence. Ils ne changeront pas tant que les ayatollahs, les Ben Laden, le Hezbollah et les “Frères musulmans” existeront. Les médias occidentaux se trompent en qualifiant ces terroristes, de militants ou activistes comme s’ils étaient des supporters brandissant des banderoles d’un mouvement pacifiste ou des colleurs d’affiches. Leurs appels désespérés pour la reconduite à une trêve conditionnée, ne sont que d’ordre tactique et sont destinés à attirer l’attention internationale, pour pouvoir gagner du temps et amasser de nouvelles armes. C’est clair et éloquent. Nous piétinons toujours sur le terrain et l’espoir agonise. La politique du bâton et de la carotte avec les Palestiniens ne marche plus. Des négociations avec cette organisation qui prône notre destruction ne riment absolument à rien. Une perte de temps et d’énergie. Les tractations sont vouées par avance à l’échec comme elles l’ont été avec les fameux Accords d’Oslo.
Jérusalem devrait changer fondamentalement sa politique vis-à vis du Hamas. Changer de discours et prendre des décisions graves et courageuses sans prendre de considération extérieure. Seule la sécurité des citoyens israéliens compte! Résister aux pressions internationales, européennes ou américaines. Agir en priorité dans l’intérêt de l’Etat juif et mettre un terme, par tous les moyens possibles, au pouvoir terroriste du Hamas. Durant les 6 derniers mois nous avons appliqué la trêve en grinçant les dents. Nous souhaitons l’accalmie, mais il existe des limites, des lignes rouges et des prix à ne pas payer.
L’Etat a le devoir d’assurer la sécurité de ses citoyens. Un enfant israélien doit pouvoir aller à l’école avec le sourire et sans craintes et pouvoir dormir toutes les nuits sans faire de cauchemar. Cette assurance est notre force de dissuasion et devrait être notre devise.