La connivence des ONG palestiniennes avec la Cour pénale internationale-CPI

Legal Assault: How the ICC Has Been Weaponized Against the U.S. and Israel

Le JCPA-CAPE de Jérusalem vient de publier une nouvelle étude qui décrit, avec l’appui de documents irréfutables, comment des ONG extrémistes palestiniennes, dont certaines sont affiliées à des organisations terroristes, ont collaboré étroitement avec la Cour pénale internationale (CPI) dans le but est de porter des plaintes contre les États-Unis et Israël.

Fatou Bensouda, principale procureure de la Cour pénale internationale (CPI), a employé tous ses efforts pour pouvoir ouvrir deux enquêtes simultanées sur des « crimes contre l’humanité » : l’une contre les États-Unis, pour des crimes éventuellement commis en Afghanistan, et l’autre contre Israël, pour des crimes soit disant commis dans les territoires contrôlés par l’Autorité palestinienne.

La procureure insiste que ces dit territoires sont considérés appartenant à « l’État de Palestine » bien qu’un tel État n’existe pas en réalité.

Il est bien étrange que dans ces deux enquêtes parallèles ces ONG sont étroitement liées. On constate donc que les ONG internationales qui ont porté plainte contre les États-Unis : la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) et le Centre des droits constitutionnels (CCR), sont liées aux ONG palestiniennes qui ont porté plainte contre Israël.

Cette étude révèle que trois organismes palestiniens : Al-Haq, Centre palestinien pour les droits de l’Homme, ainsi que les ONG Al Mezan et Al-Dameer entretiennent des liens étroits avec des organisations terroristes tels que le Hamas et le Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP).  Elles ne sont guère des organisations dont le noble but est de défendre les droits de l’Homme comme elles se sont faussement représentées mais elles collaborent plutôt avec des mouvements terroristes inscrits sur une liste noire par le Département d’État américain et l’Union européenne.

Pour exemple, Shawan Jabarin, Directeur exécutif d’Al-Haq depuis 2006, est un ancien leader du Front populaire pour la libération de la Palestine qui a purgé de multiples peines de prison pour ses actes terroristes.  

Shawan Jabarin, Fatou Bensouda (Twitter)

La Cour suprême israélienne avait qualifié Jabarin “Dr. Jekyl et M. Hyde” en raison de ses activités terroristes en parallèle à la direction du centre Al-Haq dont le but initial devrait être la défense des “Droits de l’homme”.

En mai 2018, les sociétés bancaires : Visa, Mastercard et American Express ont bloqué toutes les cartes de crédit à Al Haq en raison de ses liens avec le FPLP. Le directeur Shawan Jabarin s’est vu refuser par Israël et la Jordanie des visas de sortie à l’étranger.  

Les dirigeants des autres ONG palestiniennes ont également maintenu des liens étroits avec le FPLP, le Hamas, et le Djihad islamique. Ils sont très actifs dans la campagne contre la politique américaine au Moyen-Orient. Notons que le directeur d’Al-Haq, Shawan Jabarin, est aussi Secrétaire général au sein de la FIDH. (Fédération internationale des droits de l’Homme).

Nada Kiswanson van Hooydonk et Katherine Gallagher, représentantes des victimes contre les États-Unis, ont également été engagées par les Palestiniens. Il convient de noter que le CCR et la FIDH sont profondément impliqués dans d’autres activités juridiques anti-israéliennes dont le BDS.

En outre, la présidente de la CPI Fatou Bensouda joue un rôle partial et ne peut juger dans ces affaires en raison de ses liens avec la FIDH. En 2015, Madame Bensouda s’est rendue au siège de la FIDH à Paris, et en 2019, elle a participé au 40e Congrès de cette organisme.

En conclusion, il est clair que toutes les plaintes déposées devant le tribunal pénal international sont de nature purement politiques et servent à la campagne anti-israélienne et anti-américaine. Les liens avec les organisations terroristes soulèvent aussi de sérieuses questions sur l’objectivité de la CPI et les réelles intentions de sa présidente Fatou Bensouda.

Voir en PDF l’intégralité de l’étude du JCPA-CAPE en anglais.

https://jcpa.org/legal-assault-how-the-icc-has-been-weaponized-against-the-u-s-and-israel/