Une nouvelle chance pour Bibi
Suite à des tractations périlleuses et des manœuvres tortueuses, le gouvernement de Benjamin “Bibi” Netanyahou est mis enfin sur les rails. Un départ pénible mais la voie est tracée. La question est de savoir vers quelle destination va-t-il s’acheminer? Quel sera son parcours? S’arrêtera-t-il à chaque station pour réfléchir sur la marche à suivre? Achèvera t-il à terme son mandat?
La stabilité d’un régime démocratique est primordiale pour relever les grands défis et prendre des décisions sages et audacieuses. Bibi est entouré d’une bonne équipe, des personnalités brillantes et expérimentées dans tous les domaines. Notamment, Ehoud Barak, chef travailliste, qui est toujours à la Défense. Bougy Yaalon, ancien chef d’état-major, suppléant et Dan Meridor, vice-Premier ministre et chargé des services de Renseignements.
Les taches sont lourdes et les défis sont énormes. Premièrement, le budget national est à voter rapidement. C’est le nerf de l’Etat. La situation économique et sociale est grave et elle est accentuée par une crise mondiale. Deuxièmement, ce gouvernement devrait modifier son système électoral et ensuite améliorer son image de marque. Un gouvernement dirigé par la droite est toujours critiqué et condamné à l’avance, particulièrement en Europe. C’est absurde et devenu pathétique!
Troisièmement, Netanyahou doit libérer sans délai le caporal franco-israélien, Guilad Shalit. C’est tout un symbole et le vœu de toute la nation et de la diaspora juive. Quatrièmement, consolider ses relations avec la nouvelle administration américaine. Dés à présent, Bibi prépare son voyage, prévu au début mai à Washington. Connaissant parfaitement la civilisation américaine et parlant l’anglais comme un vrai américain, il pourra convaincre ses interlocuteurs de ses bonnes intentions. Ancien ambassadeur à l’ONU, il est conscient des enjeux diplomatiques et des menaces qui pèsent et il est très concerné d’un isolement d’Israël sur l’arène internationale. Le processus de la paix avec les pays arabes est irréversible et le gouvernement Netanyahou doit présenter un programme généreux et audacieux, sur la base de concessions réciproques et des frontières défendables. Jérusalem doit prendre l’initiative pour éviter des pressions inutiles. Un gouvernement israélien doit dire toujours OUI à la paix! Donnons donc une nouvelle chance à Bibi et souhaitons plein succès à son gouvernement. Sa réussite serait la notre et celle de la voie de la paix.
Les taches sont lourdes et les défis sont énormes. Premièrement, le budget national est à voter rapidement. C’est le nerf de l’Etat. La situation économique et sociale est grave et elle est accentuée par une crise mondiale. Deuxièmement, ce gouvernement devrait modifier son système électoral et ensuite améliorer son image de marque. Un gouvernement dirigé par la droite est toujours critiqué et condamné à l’avance, particulièrement en Europe. C’est absurde et devenu pathétique!
Troisièmement, Netanyahou doit libérer sans délai le caporal franco-israélien, Guilad Shalit. C’est tout un symbole et le vœu de toute la nation et de la diaspora juive. Quatrièmement, consolider ses relations avec la nouvelle administration américaine. Dés à présent, Bibi prépare son voyage, prévu au début mai à Washington. Connaissant parfaitement la civilisation américaine et parlant l’anglais comme un vrai américain, il pourra convaincre ses interlocuteurs de ses bonnes intentions. Ancien ambassadeur à l’ONU, il est conscient des enjeux diplomatiques et des menaces qui pèsent et il est très concerné d’un isolement d’Israël sur l’arène internationale. Le processus de la paix avec les pays arabes est irréversible et le gouvernement Netanyahou doit présenter un programme généreux et audacieux, sur la base de concessions réciproques et des frontières défendables. Jérusalem doit prendre l’initiative pour éviter des pressions inutiles. Un gouvernement israélien doit dire toujours OUI à la paix! Donnons donc une nouvelle chance à Bibi et souhaitons plein succès à son gouvernement. Sa réussite serait la notre et celle de la voie de la paix.