L’UNRWA : la contre-vérité
L’UNRWA n’est pas une organisation innocente et organisme d’aide de l’ONU, mais une source de pouvoir et de contrôle que le Hamas exploite habilement depuis qu’il a remporté les élections.
Les institutions et installations de l’UNRWA, l’agence de secours et de l’emploi de l’ONU pour le traitement des réfugiés palestiniens, ont été attaquées à maintes reprises par Tsahal au cours de la dernière guerre contre le Hamas. Des responsables militaires ont affirmé que Tsahal a tiré en réponse aux tirs en provenance des installations ou des environs. Ces incidents sont déjà enquêtés, mais il est impératif d’attirer l’attention sur la préoccupation inquiétante qui a surgi ces dernières années sur la domination progressive des organisations terroristes palestiniennes et à leur tête le Hamas, sur les institutions de l’UNRWA.
Six mois après sa victoire électorale, le Hamas a réussi à atteindre la majorité absolue au sein de l’union des travailleurs de l’UNRWA tenue le 14 juin 2006. Le Hamas a mis l’accent sur le domaine de l’éducation. Dans le cadre d’une approche à long terme, visant à créer « une génération pour la foi » qui mettrait en relief « la mort pour la gloire d’Allah comme le sommet des ambitions » et ainsi provoquerait le « réveil islamique » et la renaissance des califats.
Le chef de la section des professeurs à l’UNRWA est une haute personnalité du Hamas. Soheil el-Hindi ne cache pas son attachement à cette organisation. Il représente le mouvement et prend ouvertement partie aux activités politiques. Par ses fonctions, Soheil el-Hindi a une influence considérable sur le système scolaire et éducatif de l’UNRWA et son impact est énorme sur l’inspection des étudiants dans les camps d’été qu’organise cette institution onusienne.
En juillet 2001, Soheil el -Hindi a participé à une cérémonie dans une école du camp de réfugiés Jabalya avec le chef spirituel du Hamas Ahmed Yassin. Dans son discours devant les étudiants, il a fait l’éloge des bombes humaines, issues du système éducatif palestinien et il a expliqué que « le chemin de la Palestine libérée passe par le sang des martyrs”.
Il n’est pas surprenant de constater en fouillant les curriculum vitae des terroristes suicidaires que la plupart d’entre eux sont des diplômés du système éducatif de l’UNRWA.
Un autre “professeur” et “éducateur” des écoles de l’UNRWA a été le ministre de l’Intérieur du gouvernement du Hamas, Said Siam, tué dans la dernière offensive de Tsahal. Il était responsable du fonctionnement du dispositif de sécurité et du terrorisme du Hamas et l’un des confidents et proches de Khaled Mashal. Durant plus de 23 ans, Siam était un enseignant membre du courant extrémiste du Hamas et de l’aile militaire, qui a éduqué des générations d’enfants palestiniens dans les écoles de l’UNRWA.
Suite à la prise du pouvoir de la bande de Gaza en juin 2007, et selon des rapports reçus, notamment d’organisations palestiniennes des droits de l’Homme, les forces armées du gouvernement du Hamas se sont emparés des institutions de l’UNRWA installées dans la bande de Gaza. Ils ont également hébergé les forces des brigades Al-Kassem, la branche militaire du Hamas. Des parents des élèves qui étudient dans les écoles de l’UNRWA ont envoyé, il y a quelques mois, une lettre à une haute personnalité de l’institution, affirmant que des dizaines de professeurs appartenant aux brigades Al-Kassem enseignent dans les écoles de l’UNRWA. Ils ont réclamé une enquête urgente.
Un autre exemple évident qui reflète le fait que l’UNRWA sert d’”auberge accueillante” aux organisations terroristes palestiniennes, a été révélé lors du raid aérien lancé le 30 avril 2008 contre un atelier de production d’armes à Rafah. Dans cette attaque, Awad el-Kik a été tué. Il fut enseignant, éducateur, et directeur des écoles de l’UNRWA à Rafah. Il a servi également comme chef de l’unité d’ingénierie et de production des moyens militaires du Jihad islamique dans la bande de Gaza.
El Kik était l’un des principaux responsables de la production des roquettes et des engins explosifs et leur fourniture permanente au Djihad islamique.
Il a formé des générations d’ « ingénieurs » sur la base des connaissances qu’il a acquis. En été 2006, El-Kik s’est rendu en Chine et s’est intéressé de l’achat d’avions légers afin de commettre des attentats suicide contre Israël.
En septembre 2007, il a échappé belle à un attentat contre sa personne lancé part d’Israël. Il a poursuivi ses activités et a continué à exercer ses fonctions d’enseignant et éducateur dans les écoles de l’UNRWA et dans les camps d’été. En dépit de ses activités terroristes l’UNRWA a refusé de le licencier.
Les activités des “enseignants” du Hamas au sein de l’UNRWA devraient lancer un cri d’alarme aux dons fabuleux transmis par les pays donateurs, dont les USA et le Canada à cette organisation onusienne. En fait, ces dons servent au financement des salaires des militants du Hamas et du Djihad islamique. Cette question exige une enquête urgente. Les pays donateurs doivent préalablement poser des conditions quant à la poursuite de leur aide à l’UNRWA, et doivent exiger la mise en quarantaine et l’éloignement des militants terroristes de toutes les institutions de l’agence de l’ONU. Ils doivent revendiquer avec force l’engagement de l’organisation de démanteler les camps de réfugiés et leur réhabilitation dans des agglomérations nouvelles et spacieuses.
Au-delà de la question du terrorisme, l’UNRWA et les dirigeants palestiniens aident dans leur politique à éterniser le problème et la souffrance des réfugiés. L’Autorité palestinienne et le gouvernement du Hamas n’ont jamais réhabilité les camps des réfugiés. Bien au contraire, les dirigeants palestiniens ont dit clairement que les zones des colonies de peuplement évacuées par Israël ne seront pas peuplées afin de conserver leur droit au retour.
Un argument infondé car l’amélioration des conditions des réfugiés n’est pas liée directement au droit du retour ou aux indemnités, comme le cas des Juifs qui ont été expulsés des pays arabes. Il semble que les intérêts du gouvernement du Hamas et de l’UNRWA sont concordants.
La présence illimitée des camps de réfugiés aggrave la souffrance et conduit au radicalisme et l’extrémisme.
Dans ce contexte, il n’existe aucune justification pour maintenir l’existence de l’UNRWA.
Les institutions et installations de l’UNRWA, l’agence de secours et de l’emploi de l’ONU pour le traitement des réfugiés palestiniens, ont été attaquées à maintes reprises par Tsahal au cours de la dernière guerre contre le Hamas. Des responsables militaires ont affirmé que Tsahal a tiré en réponse aux tirs en provenance des installations ou des environs. Ces incidents sont déjà enquêtés, mais il est impératif d’attirer l’attention sur la préoccupation inquiétante qui a surgi ces dernières années sur la domination progressive des organisations terroristes palestiniennes et à leur tête le Hamas, sur les institutions de l’UNRWA.
Six mois après sa victoire électorale, le Hamas a réussi à atteindre la majorité absolue au sein de l’union des travailleurs de l’UNRWA tenue le 14 juin 2006. Le Hamas a mis l’accent sur le domaine de l’éducation. Dans le cadre d’une approche à long terme, visant à créer « une génération pour la foi » qui mettrait en relief « la mort pour la gloire d’Allah comme le sommet des ambitions » et ainsi provoquerait le « réveil islamique » et la renaissance des califats.
Le chef de la section des professeurs à l’UNRWA est une haute personnalité du Hamas. Soheil el-Hindi ne cache pas son attachement à cette organisation. Il représente le mouvement et prend ouvertement partie aux activités politiques. Par ses fonctions, Soheil el-Hindi a une influence considérable sur le système scolaire et éducatif de l’UNRWA et son impact est énorme sur l’inspection des étudiants dans les camps d’été qu’organise cette institution onusienne.
En juillet 2001, Soheil el -Hindi a participé à une cérémonie dans une école du camp de réfugiés Jabalya avec le chef spirituel du Hamas Ahmed Yassin. Dans son discours devant les étudiants, il a fait l’éloge des bombes humaines, issues du système éducatif palestinien et il a expliqué que « le chemin de la Palestine libérée passe par le sang des martyrs”.
Il n’est pas surprenant de constater en fouillant les curriculum vitae des terroristes suicidaires que la plupart d’entre eux sont des diplômés du système éducatif de l’UNRWA.
Un autre “professeur” et “éducateur” des écoles de l’UNRWA a été le ministre de l’Intérieur du gouvernement du Hamas, Said Siam, tué dans la dernière offensive de Tsahal. Il était responsable du fonctionnement du dispositif de sécurité et du terrorisme du Hamas et l’un des confidents et proches de Khaled Mashal. Durant plus de 23 ans, Siam était un enseignant membre du courant extrémiste du Hamas et de l’aile militaire, qui a éduqué des générations d’enfants palestiniens dans les écoles de l’UNRWA.
Suite à la prise du pouvoir de la bande de Gaza en juin 2007, et selon des rapports reçus, notamment d’organisations palestiniennes des droits de l’Homme, les forces armées du gouvernement du Hamas se sont emparés des institutions de l’UNRWA installées dans la bande de Gaza. Ils ont également hébergé les forces des brigades Al-Kassem, la branche militaire du Hamas. Des parents des élèves qui étudient dans les écoles de l’UNRWA ont envoyé, il y a quelques mois, une lettre à une haute personnalité de l’institution, affirmant que des dizaines de professeurs appartenant aux brigades Al-Kassem enseignent dans les écoles de l’UNRWA. Ils ont réclamé une enquête urgente.
Un autre exemple évident qui reflète le fait que l’UNRWA sert d’”auberge accueillante” aux organisations terroristes palestiniennes, a été révélé lors du raid aérien lancé le 30 avril 2008 contre un atelier de production d’armes à Rafah. Dans cette attaque, Awad el-Kik a été tué. Il fut enseignant, éducateur, et directeur des écoles de l’UNRWA à Rafah. Il a servi également comme chef de l’unité d’ingénierie et de production des moyens militaires du Jihad islamique dans la bande de Gaza.
El Kik était l’un des principaux responsables de la production des roquettes et des engins explosifs et leur fourniture permanente au Djihad islamique.
Il a formé des générations d’ « ingénieurs » sur la base des connaissances qu’il a acquis. En été 2006, El-Kik s’est rendu en Chine et s’est intéressé de l’achat d’avions légers afin de commettre des attentats suicide contre Israël.
En septembre 2007, il a échappé belle à un attentat contre sa personne lancé part d’Israël. Il a poursuivi ses activités et a continué à exercer ses fonctions d’enseignant et éducateur dans les écoles de l’UNRWA et dans les camps d’été. En dépit de ses activités terroristes l’UNRWA a refusé de le licencier.
Les activités des “enseignants” du Hamas au sein de l’UNRWA devraient lancer un cri d’alarme aux dons fabuleux transmis par les pays donateurs, dont les USA et le Canada à cette organisation onusienne. En fait, ces dons servent au financement des salaires des militants du Hamas et du Djihad islamique. Cette question exige une enquête urgente. Les pays donateurs doivent préalablement poser des conditions quant à la poursuite de leur aide à l’UNRWA, et doivent exiger la mise en quarantaine et l’éloignement des militants terroristes de toutes les institutions de l’agence de l’ONU. Ils doivent revendiquer avec force l’engagement de l’organisation de démanteler les camps de réfugiés et leur réhabilitation dans des agglomérations nouvelles et spacieuses.
Au-delà de la question du terrorisme, l’UNRWA et les dirigeants palestiniens aident dans leur politique à éterniser le problème et la souffrance des réfugiés. L’Autorité palestinienne et le gouvernement du Hamas n’ont jamais réhabilité les camps des réfugiés. Bien au contraire, les dirigeants palestiniens ont dit clairement que les zones des colonies de peuplement évacuées par Israël ne seront pas peuplées afin de conserver leur droit au retour.
Un argument infondé car l’amélioration des conditions des réfugiés n’est pas liée directement au droit du retour ou aux indemnités, comme le cas des Juifs qui ont été expulsés des pays arabes. Il semble que les intérêts du gouvernement du Hamas et de l’UNRWA sont concordants.
La présence illimitée des camps de réfugiés aggrave la souffrance et conduit au radicalisme et l’extrémisme.
Dans ce contexte, il n’existe aucune justification pour maintenir l’existence de l’UNRWA.