L’Union européenne et Jérusalem
Un document interne de l’Union européenne du mois de décembre 2008, et dernièrement divulgué à la presse, accuse Israël d’activité illégale à Jérusalem et d’attiser le conflit. Le document se base injustement sur la résolution 242 de l’ONU et omet toute considération historique d’Israël à la vieille ville.
Ce document divulgué à la presse par le Comité israélien” contre la démolition de maisons”, est unilatéral et ignore plusieurs preuves historiques dont l’attachement aux lieux saints et au Mont du Temple, et que Jérusalem demeure la capitale historique du peuple juif. Il omet que l’Etat d’Israël, Etat du peuple juif, a concrétisé son droit, basé sur les lois de justice, et sa légitimité naturelle de peupler Jérusalem de Juifs et d’ancrer la ville comme capitale unifiée de l’Etat d’Israël.
Une campagne agressive est menée récemment contre les activités israéliennes à Jérusalem. Elle est visée principalement sur la cité de David. Cette cité a été identifiée par les archéologues et les historiens comme la source de l’origine de Jérusalem, lorsque que le roi David a décidé, il y a plus de 3000 ans, de quitter sa ville Hébron, et s’installer à Jérusalem pour réunir le peuple d’Israël dans une seule capitale.
Salomon, le fils de David, a édifié le Premier Temple au sommet du Mont Moriah, lieu du sacrifice d’Isaac, qui est le Mont du Temple aujourd’hui. Ainsi, Jérusalem est devenue pour la première fois la capitale d’Israël. Les fouilles dans la cité de David, lieu le plus fouillé aujourd’hui à Jérusalem, ont été entreprises pendant le mandat turc, et durant le mandat britannique. Israël a aussi mené des fouilles dans cette région, tout en découvrant de nombreux vestiges de périodes différentes. Le travail effectué a remporté des résultats précieux et une valorisation pour la communauté d’archéologue israéliens et le patrimoine mondiale.
Récemment, Israël a été accusé, de creuser sous les maisons palestiniennes et de mettre en danger les familles résidentes. Cette constatation n’est pas exacte puisque une partie des fouilles seulement est effectuée sous les maisons, et que tous les travaux archéologiques sont effectués sous l’inspection d’ingénieurs et d’archéologues, avec une collaboration étroite des habitants. Une partie des employés sont d’ailleurs des résidents palestiniens et ne sont guère discriminés.
A chaque découverte sous les décombres, y compris dans le quartier juif, Israël agit de la même manière. Les maisons juives et les maisons arabes sont traitées sans discrimination.
Non loin de la cité de David s’étend le Jardin du Roi, cité dans les écrits de Néhémia et de Kohéleth (L’Ecclésiaste) et mentionné dans d’autres sources et études historiques. Il est un site qui a été privilégié par les chercheurs, les visiteurs et les pèlerins et attribué aux rois David et Salomon. Le nom en arabe de ce site est « Al Boustan ». Cet espace est à proximité de Silouane, située au sud ouest de Jérusalem et à l’embranchement qui décline vers le Mont des oliviers, au sud. Il y a plus de 20 ans, la municipalité de Jérusalem a effectué des travaux d’aménagement et d’évacuations des eaux, suite aux nombreux hivers pluvieux qui ont provoqué des marécages, devenus une source d’incubation d’insectes nuisibles. Ces travaux ont entraîné des constructions illégales. On dénombre plus de 88 unités construites par les Palestiniens et donc la mairie de Jérusalem s’est trouvée dans l’obligation d’émettre des ordres de démolition.
Le directeur de l’Autorité des antiquités, Joshua Dorfman, a estimé que ces constructions illégales ont causé des dégâts considérables et souvent irréversibles aux vestiges et aux fouilles en cours. Seuls quelques ordres de démolition ont été exécutés depuis. La municipalité est déterminé à faire respecter la loi, mais vu la sensibilité du problème et les critiques internationales, elle propose exceptionnellement aux illégaux e quitter les lieux mais en compensation choisir un autre terrain pour construire leur maison à Jérusalem. Les habitants, soutenus par des mouvements d’extrême-gauche et l’Autorité palestinienne s’y opposent farouchement.
Un autre facteur utilisé récemment pour pouvoir condamné Israël est l’installation de juifs dans la cité de david. Des dizaines de familles juives ont acquis des maisons qu’elles ont achetées chez les propriétaires arabes. Personne n’a obligé les arabes à vendre aux Juifs. La vente a été effectuée de leur propre gré et dans plusieurs cas, a été documentée et enregistré sur cassette vidéo, pour dissiper ultérieurement tout malentendu. La réinstallation juive dans la cité de David, se base sur l’espoir juif historique, religieux et culturel. Cette installation dure déjà plus d’une vingtaine d’années. Les relations entre Juifs et Palestiniens dans ce quartier sont tout à fait correct et la coexistence sera bonne tant que des éléments politiques n’interfèrent pas dans leur tentative d’inciter les résidents palestiniens. Des officiers de la police israélienne témoignent que depuis que des juifs y habitent, le taux de criminalité a baissé de dizaines de pourcentage dans ce quartier.
L’interprétation de la résolution 242 dans le document sur Jérusalem élaboré par l’Union européenne ne tient pas compte des preuves et des évènements historiques irréfutables: dans la résolution 242 de novembre 1967, Jérusalem n’est pas incluse. Les dispositifs opérationnels de cette résolution n’exigent pas un retrait complet aux lignes d’avant 1967 (mais uniquement d’un retrait de territoires aux frontières sûres et reconnues (l’ambassadeur américain à l’ONU Arthur Goldberg, a écrit rétrospectivement « je n’ai jamais vu Jérusalem comme territoire occupé la décision 242 ne s’applique pas à Jérusalem en aucune manière, et cette omission était délibérée ».
Il n’est pas superflu de rappeler à ce sujet que dans les années 1948 et 1967, lorsque la Jordanie régnait sur Jérusalem, cette dernière a refusé contrairement à son engagement de permettre aux Juifs l’accès au Mur des Lamentations , au Mont des Oliviers et aux autres Lieux saints. Plus de 50 synagogues dans le quartier juif de la vieille ville ont été détruites ou profanées. Des dizaines de milliers de pierres tombales dans le cimetière juif le plus important au monde dans le Mont des Oliviers, ont été profanées et/ou endommagées. La réunification de Jérusalem a rendu la liberté du culte à tous les citoyens de Jérusalem, Juifs, Musulmans et Chrétiens.
Le document de Jérusalem de l’Union européenne ignore, comme il a été souligné, toute trace historique du droit des Juifs sur Jérusalem. Rappelons brièvement que depuis les 150 dernières années, voire depuis 1864 il y avait une majorité juive à Jérusalem ; le statut juridique international d’Israël à Jérusalem découle du mandat de la terre d’Israël, reconnu par la Société des Nations- source de légitimité internationale avant la création des Nations- Unies pour « le lien historique du peuple juif à la Palestine » et qui a appelé « à établir en Palestine un foyer national au peuple juif ». La Société des Nations n’a pas différencié entre les droits des juifs à Jérusalem et leurs droits dans le reste du territoire d’Israël. Le Premier ministre, David Ben Gourion, a proclamé Jérusalem comme capitale d’Israël en 1950. La convention d’armistice entre Israël et la Jordanie qui a été signée un an plus tôt n’a pas défini les frontières définitives entre les deux parties, mais les lignes de séparation entre les armées à la fin de la guerre de 1948. Suite à la demande arabe les accords d’armistice ont inclus un paragraphe qui précisait qu’il n’y avait pas dans l’accord aucune condition qui définissait d’avance les droits de chaque partie dans la dernière question sur la terre d’Israël dans les processus de paix. C’est-à-dire qu’il n’y avait pas de statut politique aux lignes 1967, à la veille de la guerre des Six Jours.
A la libération de la vieille ville de Jérusalem, pendant la guerre des Six jours, déclenchée suite à l’attaque de la Jordanie sur le long de la ligne municipale, Israël a approuvé à la Knesset l’autorité judiciaire et l’administration israélienne sur la partie Est de la ville. Israël a approuvé sa souveraineté sur le Mont du Temple, mais a conclu que le Wakf continuerait à le gérer. Israël a également accepté de renoncer au droit des Juifs de prier sur le Mont du Temple, et cela afin d’éviter des conflits inter religieux, dans ce lieu qui demeure les plus sensibles de la planète. C’était une énorme concession, que les Israéliens ne pouvaient concevoir et hélas n’ont pas réussi à expliquer correctement à travers le globe.
Ce document divulgué à la presse par le Comité israélien” contre la démolition de maisons”, est unilatéral et ignore plusieurs preuves historiques dont l’attachement aux lieux saints et au Mont du Temple, et que Jérusalem demeure la capitale historique du peuple juif. Il omet que l’Etat d’Israël, Etat du peuple juif, a concrétisé son droit, basé sur les lois de justice, et sa légitimité naturelle de peupler Jérusalem de Juifs et d’ancrer la ville comme capitale unifiée de l’Etat d’Israël.
Une campagne agressive est menée récemment contre les activités israéliennes à Jérusalem. Elle est visée principalement sur la cité de David. Cette cité a été identifiée par les archéologues et les historiens comme la source de l’origine de Jérusalem, lorsque que le roi David a décidé, il y a plus de 3000 ans, de quitter sa ville Hébron, et s’installer à Jérusalem pour réunir le peuple d’Israël dans une seule capitale.
Salomon, le fils de David, a édifié le Premier Temple au sommet du Mont Moriah, lieu du sacrifice d’Isaac, qui est le Mont du Temple aujourd’hui. Ainsi, Jérusalem est devenue pour la première fois la capitale d’Israël. Les fouilles dans la cité de David, lieu le plus fouillé aujourd’hui à Jérusalem, ont été entreprises pendant le mandat turc, et durant le mandat britannique. Israël a aussi mené des fouilles dans cette région, tout en découvrant de nombreux vestiges de périodes différentes. Le travail effectué a remporté des résultats précieux et une valorisation pour la communauté d’archéologue israéliens et le patrimoine mondiale.
Récemment, Israël a été accusé, de creuser sous les maisons palestiniennes et de mettre en danger les familles résidentes. Cette constatation n’est pas exacte puisque une partie des fouilles seulement est effectuée sous les maisons, et que tous les travaux archéologiques sont effectués sous l’inspection d’ingénieurs et d’archéologues, avec une collaboration étroite des habitants. Une partie des employés sont d’ailleurs des résidents palestiniens et ne sont guère discriminés.
A chaque découverte sous les décombres, y compris dans le quartier juif, Israël agit de la même manière. Les maisons juives et les maisons arabes sont traitées sans discrimination.
Non loin de la cité de David s’étend le Jardin du Roi, cité dans les écrits de Néhémia et de Kohéleth (L’Ecclésiaste) et mentionné dans d’autres sources et études historiques. Il est un site qui a été privilégié par les chercheurs, les visiteurs et les pèlerins et attribué aux rois David et Salomon. Le nom en arabe de ce site est « Al Boustan ». Cet espace est à proximité de Silouane, située au sud ouest de Jérusalem et à l’embranchement qui décline vers le Mont des oliviers, au sud. Il y a plus de 20 ans, la municipalité de Jérusalem a effectué des travaux d’aménagement et d’évacuations des eaux, suite aux nombreux hivers pluvieux qui ont provoqué des marécages, devenus une source d’incubation d’insectes nuisibles. Ces travaux ont entraîné des constructions illégales. On dénombre plus de 88 unités construites par les Palestiniens et donc la mairie de Jérusalem s’est trouvée dans l’obligation d’émettre des ordres de démolition.
Le directeur de l’Autorité des antiquités, Joshua Dorfman, a estimé que ces constructions illégales ont causé des dégâts considérables et souvent irréversibles aux vestiges et aux fouilles en cours. Seuls quelques ordres de démolition ont été exécutés depuis. La municipalité est déterminé à faire respecter la loi, mais vu la sensibilité du problème et les critiques internationales, elle propose exceptionnellement aux illégaux e quitter les lieux mais en compensation choisir un autre terrain pour construire leur maison à Jérusalem. Les habitants, soutenus par des mouvements d’extrême-gauche et l’Autorité palestinienne s’y opposent farouchement.
Un autre facteur utilisé récemment pour pouvoir condamné Israël est l’installation de juifs dans la cité de david. Des dizaines de familles juives ont acquis des maisons qu’elles ont achetées chez les propriétaires arabes. Personne n’a obligé les arabes à vendre aux Juifs. La vente a été effectuée de leur propre gré et dans plusieurs cas, a été documentée et enregistré sur cassette vidéo, pour dissiper ultérieurement tout malentendu. La réinstallation juive dans la cité de David, se base sur l’espoir juif historique, religieux et culturel. Cette installation dure déjà plus d’une vingtaine d’années. Les relations entre Juifs et Palestiniens dans ce quartier sont tout à fait correct et la coexistence sera bonne tant que des éléments politiques n’interfèrent pas dans leur tentative d’inciter les résidents palestiniens. Des officiers de la police israélienne témoignent que depuis que des juifs y habitent, le taux de criminalité a baissé de dizaines de pourcentage dans ce quartier.
L’interprétation de la résolution 242 dans le document sur Jérusalem élaboré par l’Union européenne ne tient pas compte des preuves et des évènements historiques irréfutables: dans la résolution 242 de novembre 1967, Jérusalem n’est pas incluse. Les dispositifs opérationnels de cette résolution n’exigent pas un retrait complet aux lignes d’avant 1967 (mais uniquement d’un retrait de territoires aux frontières sûres et reconnues (l’ambassadeur américain à l’ONU Arthur Goldberg, a écrit rétrospectivement « je n’ai jamais vu Jérusalem comme territoire occupé la décision 242 ne s’applique pas à Jérusalem en aucune manière, et cette omission était délibérée ».
Il n’est pas superflu de rappeler à ce sujet que dans les années 1948 et 1967, lorsque la Jordanie régnait sur Jérusalem, cette dernière a refusé contrairement à son engagement de permettre aux Juifs l’accès au Mur des Lamentations , au Mont des Oliviers et aux autres Lieux saints. Plus de 50 synagogues dans le quartier juif de la vieille ville ont été détruites ou profanées. Des dizaines de milliers de pierres tombales dans le cimetière juif le plus important au monde dans le Mont des Oliviers, ont été profanées et/ou endommagées. La réunification de Jérusalem a rendu la liberté du culte à tous les citoyens de Jérusalem, Juifs, Musulmans et Chrétiens.
Le document de Jérusalem de l’Union européenne ignore, comme il a été souligné, toute trace historique du droit des Juifs sur Jérusalem. Rappelons brièvement que depuis les 150 dernières années, voire depuis 1864 il y avait une majorité juive à Jérusalem ; le statut juridique international d’Israël à Jérusalem découle du mandat de la terre d’Israël, reconnu par la Société des Nations- source de légitimité internationale avant la création des Nations- Unies pour « le lien historique du peuple juif à la Palestine » et qui a appelé « à établir en Palestine un foyer national au peuple juif ». La Société des Nations n’a pas différencié entre les droits des juifs à Jérusalem et leurs droits dans le reste du territoire d’Israël. Le Premier ministre, David Ben Gourion, a proclamé Jérusalem comme capitale d’Israël en 1950. La convention d’armistice entre Israël et la Jordanie qui a été signée un an plus tôt n’a pas défini les frontières définitives entre les deux parties, mais les lignes de séparation entre les armées à la fin de la guerre de 1948. Suite à la demande arabe les accords d’armistice ont inclus un paragraphe qui précisait qu’il n’y avait pas dans l’accord aucune condition qui définissait d’avance les droits de chaque partie dans la dernière question sur la terre d’Israël dans les processus de paix. C’est-à-dire qu’il n’y avait pas de statut politique aux lignes 1967, à la veille de la guerre des Six Jours.
A la libération de la vieille ville de Jérusalem, pendant la guerre des Six jours, déclenchée suite à l’attaque de la Jordanie sur le long de la ligne municipale, Israël a approuvé à la Knesset l’autorité judiciaire et l’administration israélienne sur la partie Est de la ville. Israël a approuvé sa souveraineté sur le Mont du Temple, mais a conclu que le Wakf continuerait à le gérer. Israël a également accepté de renoncer au droit des Juifs de prier sur le Mont du Temple, et cela afin d’éviter des conflits inter religieux, dans ce lieu qui demeure les plus sensibles de la planète. C’était une énorme concession, que les Israéliens ne pouvaient concevoir et hélas n’ont pas réussi à expliquer correctement à travers le globe.