Le combat contre l’étendard chiite
Le dernier démantèlement d’un réseau du Hezbollah en Egypte a prouvé les véritables intentions des Iraniens : déstabiliser par le terrorisme les régimes modérés du Proche-Orient et du Maghreb, et prendre la place dominante de l’Egypte dans le monde arabe. Dans ce contexte, le royaume marocain a déjà rompu ses relations diplomatiques avec Téhéran.
Depuis l’assassinat du président Sadate par un commando du Jihad islamique, en octobre 1981, et jusqu’à ce jour, les relations diplomatiques entre le Caire et Téhéran sont inexistantes. Suite à la révolution islamique, les ayatollahs nourrissent une longue rancune, un souvenir tenace, contre l’Egypte, celle qui a donné asile politique à Rezah Chah Pahlavi.
Depuis, Téhéran apporte son soutien à tous les mouvements radicaux sunnites et notamment à la confrérie, les Frères Musulmans, fondateurs du Hamas dans la bande de Gaza. L’étendard chiite du Hezbollah flotte tranquillement et aux quatre-vents à Beyrouth et à Gaza. Par des petits pas, par le chantage, et par la ruse et les intrigues, les ayatollahs fournissent des armes et des munitions, entrainent les troupes, et tentent par tous les moyens de dominer la région et imposer leur hégémonie.
La rupture des relations diplomatiques de la Mauritanie avec Israël est l’une des conséquences de cette politique néfaste du régime iranien. Jusqu’à ce jour, aucun pays du monde arabe n’a osé s’opposer énergiquement contre Téhéran. Quant à l’administration américaine et l’Union Européenne, elles préfèrent entamer, à tort ou à raison, “un dialogue constructif” avec les ayatollahs. Jérusalem demeure sceptique sur les résultats.
Les avertissements israéliens basés sur un excellent service de renseignem ents ont enfin réussi à secouer les Egyptiens de leur torpeur. Leur combat tant attendu est enfin lancé, simultanément, contre le Hezbollah, les groupes terroristes d’Al-Qaïda et l’infrastructure bédouine dans la péninsule du Sinaï et aussi contre l’acheminent des armes au Hamas par les tunnels vers la bande de Gaza. C’est dans l’intérêt principalement de l’Egypte et de tous les autres pays sunnites de la région de pouvoir mettre un terme aux agissements de l’Iran. L’étendard chiite iranien est dangereux. Il menace les voies maritimes dans la corne de l’Afrique et le passage libre dans le canal de Suez et du golfe Persique, riche en pétrole. Les ayatollahs agissent par étapes et par l’intermédiaire de leurs satellites; ils sont déterminés à poursuivre leur projet nucléaire contre vents et marées. Le devoir des Occidentaux est de mettre hors d’état de nuire ce projet dévastateur et de stopper net l’hégémonie chiite.
Depuis l’assassinat du président Sadate par un commando du Jihad islamique, en octobre 1981, et jusqu’à ce jour, les relations diplomatiques entre le Caire et Téhéran sont inexistantes. Suite à la révolution islamique, les ayatollahs nourrissent une longue rancune, un souvenir tenace, contre l’Egypte, celle qui a donné asile politique à Rezah Chah Pahlavi.
Depuis, Téhéran apporte son soutien à tous les mouvements radicaux sunnites et notamment à la confrérie, les Frères Musulmans, fondateurs du Hamas dans la bande de Gaza. L’étendard chiite du Hezbollah flotte tranquillement et aux quatre-vents à Beyrouth et à Gaza. Par des petits pas, par le chantage, et par la ruse et les intrigues, les ayatollahs fournissent des armes et des munitions, entrainent les troupes, et tentent par tous les moyens de dominer la région et imposer leur hégémonie.
La rupture des relations diplomatiques de la Mauritanie avec Israël est l’une des conséquences de cette politique néfaste du régime iranien. Jusqu’à ce jour, aucun pays du monde arabe n’a osé s’opposer énergiquement contre Téhéran. Quant à l’administration américaine et l’Union Européenne, elles préfèrent entamer, à tort ou à raison, “un dialogue constructif” avec les ayatollahs. Jérusalem demeure sceptique sur les résultats.
Les avertissements israéliens basés sur un excellent service de renseignem ents ont enfin réussi à secouer les Egyptiens de leur torpeur. Leur combat tant attendu est enfin lancé, simultanément, contre le Hezbollah, les groupes terroristes d’Al-Qaïda et l’infrastructure bédouine dans la péninsule du Sinaï et aussi contre l’acheminent des armes au Hamas par les tunnels vers la bande de Gaza. C’est dans l’intérêt principalement de l’Egypte et de tous les autres pays sunnites de la région de pouvoir mettre un terme aux agissements de l’Iran. L’étendard chiite iranien est dangereux. Il menace les voies maritimes dans la corne de l’Afrique et le passage libre dans le canal de Suez et du golfe Persique, riche en pétrole. Les ayatollahs agissent par étapes et par l’intermédiaire de leurs satellites; ils sont déterminés à poursuivre leur projet nucléaire contre vents et marées. Le devoir des Occidentaux est de mettre hors d’état de nuire ce projet dévastateur et de stopper net l’hégémonie chiite.