L’amour de Jérusalem
La victoire de Nir Barkat prouve que les résidents de Jérusalem et en particulier les jeunes, sont des sionistes qui aiment leur ville et souhaitent y rester. Ces dernières années il y a eu un départ massif de la capitale vers la plaine côtière. Plus de 16 000 personnes et familles quittent Jérusalem, chaque année, principalement pour des raisons de manque de logement et d’emploi. Aujourd’hui, ils espèrent y revenir. Les résultats des élections pourront peut-être redonner un second souffle à cette ville somnolente sur tous les plans du quotidien. Il est regrettable que les grands partis politiques aient abandonné l’avenir de la “capitale éternelle d’Israël” et que le gouvernement ne se soit pas préoccupé sérieusement des résidents de la ville en proposant des candidats capables et honorables.
Jérusalem n’est pas seulement la capitale millénaire, politique et spirituelle du monde juif. C’est une métropole à gérer convenablement. La coexistence avec les Arabes de la vieille ville et la sauvegarde des Lieux-Saints sont importantes pour l’avenir de toute la région. Le statu-quo est primordial avec les religieux juifs de tous les courants, et il est dans l’intérêt de l’unité face à la démographie galopante. Depuis que le bâtisseur de Jérusalem et le maire légendaire, Teddy Kollek, nous a quitté, cette ville est devenue méconnaissable et demeure pauvre et sans avenir pour les jeunes laïcs et religieux qu’ils soient Juifs, Chrétiens ou Musulmans. Il est inconcevable et révoltant que les minorités et en particulier les Palestiniens de Jérusalem Est boycottent les élections à la mairie. Ils sont des résidents à part entière et jouissent de tous les droits civiques. Les Arabes israéliens ont eux prouvé sagesse et maturité en venant en masse voter pour les mairies et les localités du pays. Conscients que la bonne gestion des affaires quotidiennes et courantes soit un gage pour le bien-être de tous les résidents, sans distinction de couleur politique ou d’origine.
Enfin, pour l’amour de Jérusalem et de Sion, il est temps de changer le visage de la capitale.
Jérusalem n’est pas seulement la capitale millénaire, politique et spirituelle du monde juif. C’est une métropole à gérer convenablement. La coexistence avec les Arabes de la vieille ville et la sauvegarde des Lieux-Saints sont importantes pour l’avenir de toute la région. Le statu-quo est primordial avec les religieux juifs de tous les courants, et il est dans l’intérêt de l’unité face à la démographie galopante. Depuis que le bâtisseur de Jérusalem et le maire légendaire, Teddy Kollek, nous a quitté, cette ville est devenue méconnaissable et demeure pauvre et sans avenir pour les jeunes laïcs et religieux qu’ils soient Juifs, Chrétiens ou Musulmans. Il est inconcevable et révoltant que les minorités et en particulier les Palestiniens de Jérusalem Est boycottent les élections à la mairie. Ils sont des résidents à part entière et jouissent de tous les droits civiques. Les Arabes israéliens ont eux prouvé sagesse et maturité en venant en masse voter pour les mairies et les localités du pays. Conscients que la bonne gestion des affaires quotidiennes et courantes soit un gage pour le bien-être de tous les résidents, sans distinction de couleur politique ou d’origine.
Enfin, pour l’amour de Jérusalem et de Sion, il est temps de changer le visage de la capitale.