La voix des muezzins
Depuis des siècles, Jérusalem s’éveille à l’aube au son de la voix des muezzins. De leurs minarets, ces fonctionnaires du culte musulman appellent leurs fidèles à la prière, au recueillement.
La coexistence entre les religions monothéistes est ainsi devenue un fait incontestable. Mais voilà que les temps changent et évoluent et avec eux les techniques. Car les voix des muezzins sont enregistrées et diffusées par des puissants haut-parleurs situés sur les tours des mosquées…Un procédé interdit en France et dans plusieurs pays occidentaux.
Résultat: bien avant le lever du soleil, les résidents de la Vieille ville et de la partie sud-est de Jérusalem sont secoués dans leur propre sommeil et seront perturbés dans leur travail à la longueur de la journée.
Imaginons ce qu’il se passerait si, à chaque aube, ce soit le son amplifié des shofars qui retentissent du toit des synagogues? Ou bien que les cloches des églises se mettent quotidiennement à sonner à toute volée?
Certes, l’appel des muezzins fait partie du décor du Levant et c’est peu à peu inscrit dans notre vie quotidienne. Or, depuis quelques années, nous entendons malheureusement d’autres mélodies…Il ne s’agit pas seulement de citations des sourates du Coran, ce livre sacré qui a donné naissance à une civilisation créatrice de valeurs , ni de “versets sataniques”, ni non plus des mélopées monotones et lugubres chantées par les divas d’Orient. Ecoutons très attentivement les paroles des muezzins, en particulier les jours de vendredi: les discours fleuves incitent souvent à la haine et à la violence, et les “prières” se font entendre cinq fois par jour selon le rite musulman…
Ces déclarations haineuses et provocantes dûment amplifiées par d’énormes haut-parleurs persistent de plus belle le shabbat et surtout à Kippour, le jour le plus sacré du peuple juif.
Au moment où nous négocions avec les Palestiniens un accord de paix nous devons aussi exiger la maîtrise des muezzins fanatiques, ceux du Djihad islamique et du Hamas qui prônent le culte de la mort et la haine du Juif. Comment réconcilier “les fils d’Abraham” et vivre en coexistence avec nos voisins les plus proches si nous ne mettions pas un terme à cet océan de haine aveugle et nous ne luttons pas ensemble contre l’intégrisme?
C’est le seul chemin à emprunter pour redonner confiance aux protagonistes et rendre enfin plus mélodieuses les voix des muezzins.
La coexistence entre les religions monothéistes est ainsi devenue un fait incontestable. Mais voilà que les temps changent et évoluent et avec eux les techniques. Car les voix des muezzins sont enregistrées et diffusées par des puissants haut-parleurs situés sur les tours des mosquées…Un procédé interdit en France et dans plusieurs pays occidentaux.
Résultat: bien avant le lever du soleil, les résidents de la Vieille ville et de la partie sud-est de Jérusalem sont secoués dans leur propre sommeil et seront perturbés dans leur travail à la longueur de la journée.
Imaginons ce qu’il se passerait si, à chaque aube, ce soit le son amplifié des shofars qui retentissent du toit des synagogues? Ou bien que les cloches des églises se mettent quotidiennement à sonner à toute volée?
Certes, l’appel des muezzins fait partie du décor du Levant et c’est peu à peu inscrit dans notre vie quotidienne. Or, depuis quelques années, nous entendons malheureusement d’autres mélodies…Il ne s’agit pas seulement de citations des sourates du Coran, ce livre sacré qui a donné naissance à une civilisation créatrice de valeurs , ni de “versets sataniques”, ni non plus des mélopées monotones et lugubres chantées par les divas d’Orient. Ecoutons très attentivement les paroles des muezzins, en particulier les jours de vendredi: les discours fleuves incitent souvent à la haine et à la violence, et les “prières” se font entendre cinq fois par jour selon le rite musulman…
Ces déclarations haineuses et provocantes dûment amplifiées par d’énormes haut-parleurs persistent de plus belle le shabbat et surtout à Kippour, le jour le plus sacré du peuple juif.
Au moment où nous négocions avec les Palestiniens un accord de paix nous devons aussi exiger la maîtrise des muezzins fanatiques, ceux du Djihad islamique et du Hamas qui prônent le culte de la mort et la haine du Juif. Comment réconcilier “les fils d’Abraham” et vivre en coexistence avec nos voisins les plus proches si nous ne mettions pas un terme à cet océan de haine aveugle et nous ne luttons pas ensemble contre l’intégrisme?
C’est le seul chemin à emprunter pour redonner confiance aux protagonistes et rendre enfin plus mélodieuses les voix des muezzins.