La hache palestinienne est couverte de sang juif
Les chefs palestiniens refusent obstinément d’enterrer la hache de guerre. 74 ans après la proclamation de notre indépendance qui appelait à la coexistence et à une paix définitive avec les Arabes, ils poursuivent une lutte armée, haineuse, lâche et barbare.
Les terroristes palestiniens attaquent des civils innocents, sans défense, sans armes ni uniformes. Ils massacrent sans pitié des pères de famille simplement parce qu’ils sont juifs. Une pratique qui s’inscrit dans les actes antisémites classiques.
Les terroristes ont choisi Bné Brak et El-Had justement parce que les résidents de ces villes sont des juifs religieux sans défense.
Le but des islamistes palestiniens est de nourrir et déchainer la haine contre toute présence juive en Eretz Israel. Semer la terreur contre le « corps sioniste » étranger au sein de la population arabe.
Contrairement à cette haine féroce chez les terroristes palestiniens, les victimes juives ont été éduqué aux valeurs du judaïsme, à aimer son prochain et à la coexistence avec les étrangers. Il existe dans chaque société de dangereux fanatiques, mais dans aucune capitale au monde, un Juif prendra un poignard ou une hache pour tuer des passants au nom de Dieu.
Nous appartenons au peuple du Livre, à un peuple qui cultive le savoir et la connaissance, aimant la vie et non cultiver la haine et le culte de la mort, propagés par les commanditaires du Hamas et du Djihad islamique. Vivre toujours dans l’espérance, prier à un Dieu bon et miséricordieux, et ne pas adhérer à la terreur déchainée, haineuse et aveugle pour des raisons religieuses.
Cependant, devant la nouvelle vague terroriste chaque israélien doit apprendre à se défendre. Le grand rabbin séfarade a eu raison de lancer un appel inédit aux fidèles, à ceux qui ont un permis, de venir à la synagogue avec une arme à la ceinture.
Absurde de prier au bon Dieu avec une arme à feu mais dans la jungle du Moyen-Orient cela devient un devoir.
74 ans après notre indépendance, le Hamas, ne cache pas son intention de détruire Israël. Ses chefs menacent régulièrement de tirer des roquettes sur Israël en cas de violation des « lignes rouges » et de profanation de la mosquée Al-Aqsa située sur le mont du Temple.
Le gouvernement israélien ne peut admettre un chantage permanent de la part des terroristes.
La politique de retenue ne marche plus avec les Islamistes sanguinaires. Nous devrions changer complètement de stratégie et ne pas se contenter que sur des actions coups de poing. Même la démolition du domicile de l’auteur d’un attentat n’est plus dissuasive. Au-delà des opérations militaires, des mesures plus draconiennes devraient être appliquées dont l’élimination des chefs terroristes, la démolition de leurs villas luxueuses, et la saisie de leur fortune.
Voilà plus d’un siècle que nous combattons le fléau du terrorisme palestinien et chaque jour nous déjouons des intentions d’attentats et arrêtons chaque nuit des commanditaires, auteurs et suspects. Le Hamas islamiste qui a perdu sa bataille contre les forces de Tsahal dans la bande de Gaza poursuivra la lutte armée même si Israël se retirera de tous les territoires.
Le combat du mouvement islamiste est à la fois contre l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas et contre tous les israéliens. Encouragées, formées et financées par l’Iran, des cellules terroristes à Djénine, Hébron et à Naplouse sont aux ordres des Pasdaran. La récente visite des dirigeants du Hamas à Téhéran avait pour but de planifier des attentats « stratégiques et spectaculaires ».
Mahmoud Abbas a condamné timidement les assassinats d’El-Had mais dans la même veine a critiqué sévèrement les attaques de Tsahal contre des « innocents palestiniens », tout en permettant l’incitation à la haine et en continuant à verser des salaires aux terroristes et à leurs familles.
La presse internationale fait la sourde oreille et minimise les victimes israéliennes. Chaque attaque contre des soldats de Tsahal ou contre des implantations juives dans les Territoires est généralement « compréhensive » et souvent « justifiée » sous le prétexte de l’occupation.
Américains et Européens sont préoccupés par les conséquences de la crise ukrainienne mais quand Israël décide de construire de nouveaux logements pour des jeunes couples installaient dans des implantations légitimes, ils se précipitent pour condamner la construction. Ont-ils condamné des dizaines de milliers de construction sauvages chez les Arabes ?
Tant que le Hamas est au pouvoir il ne pourrait y avoir une solution politique pour les Palestiniens.
De ce fait, Tsahal, la police, et le Shin Beit devront poursuivre leur combat, être toujours sur le qui-vive pour déjouer toute tentative terroriste et assurer la sécurité des Israéliens.
C’est notre destin collectif, pour le meilleur et pour le pire, c’est le cours de notre existence, ici, sur la terre d’Eretz Israël, dans le pays de nos ancêtres.
L’Etat juif est en légitime défense et dans le droit absolu de mener un combat, sans pitié et sans merci, contre tous les ennemis de tous bords, contre tous ceux qui veulent nous rayer de la carte.
Aucune leçon de morale, aucune condamnation ni des raisons de politique intérieure ne devrait empêcher le gouvernement israélien de poursuive la lutte inlassable et infinie contre le fléau du terrorisme palestinien.