Amnesty International face à la guerre contre le Hamas
L’organisation Amnesty International a traité d’une manière partiale les valeurs morales de Tsahal à un tel point qu’elle a condamné les appels d’avertissements qu’ont lancé les forces de sécurité israéliennes dans le but de réduire le nombre de victimes civiles.
L’organisation a qualifié de provocation les appels et a affirmé qu’ils visaient à semer la terreur et violer le droit international.
Amnesty International et d’autres organisations des droits de l’Homme, tendent systématiquement à condamner les opérations militaires israéliennes dans les territoires qui sont sous le contrôle de l’Autorité palestinienne et du gouvernement du Hamas. Cette approche déséquilibrée du conflit est unilatérale. Elle reflète la réaction partiale dans le combat contre le Hamas et les organisations terroristes palestiniennes, que mène Israël depuis plus de 7 années consécutives. Les tirs de roquettes sur des agglomérations israéliennes à partir de la Bande de Gaza n’ont pas cessé un seul jour.
Ron Ben Yishai qui est commentateur militaire chevronné, a écrit dans un article publié le 20 janvier 2009 dans Ynet.
« Avant de lancer son opération contre le Hamas, l’aspect de la morale a rempli un rôle important dans les considérations de l’état-major israélien. Lors des préparatifs, des juristes et des intellectuels ont participé aux débats. En raison de ces considérations humanitaires, l’état-major de Tsahal a décidé de faire appel à la population civile pour que les personnes non impliquées quittent les quartiers visés en cas d’une attaque terrestre »
« Dans ce but, Tsahal et les services du Shin Bet ont effectué plus d’un quart de millions d’appels téléphoniques. Les personnes concernées ont été priées de quitter les lieux avec un préavis de plusieurs heures. Parallèlement, l’armée de l’Air a dispersé des milliers de tracts.
Ces opérations préalables ont été menées en dépit du risque que les objectifs militaires et les cibles pourront être divulgués. La majorité de la population locale a effectivement suivi les consignes israéliennes et ont quitté les régions mais une partie infime a été contrainte de ne pas abandonner les lieux en raison des menaces du Hamas et l’interdiction de partir »
Amnesty International n’a pas félicité Israël pour ses tentatives d’éloigner la population palestinienne des zones de combat, une décision à grand risque pour la vie des soldats israéliens; bien au contraire, l’organisation des droits de l’Homme a noté qu’il semblerait que ces appels téléphoniques étaient plutôt destinés à intimider les résidents Gazaouis et nullement les prévenir. Sur la base de cette prétention, Amnesty International a exigé de Tsahal de mettre un terme aux avertissements par appels téléphoniques. Dans un communiqué publié le 29 décembre 2008, l’organisation internationale affirme que ” les messages reçus par les résidents dans des immeubles abritant de nombreux appartements ont provoqué la panique aussi bien au sein des familles concernées que chez leurs voisins. La conduite des opérations de l’armée israélienne qui a été déjà expérimentée lors de la Deuxième guerre du Liban en juillet 2006, bafoue le droit international et devrait cesser immédiatement ».
Les arguments de l’organisation internationale sont absurdes. Amnesty International pose un défi impossible à relever. Tsahal peut-elle prévenir uniquement les citoyens palestiniens se trouvant en danger mortel? Tsahal ou le Shin Bet sont capables d’obtenir des renseignements détaillés et si précis de chaque résident palestinien de la bande de Gaza avec son adresse, son numéro d’appartement ou son téléphone ? Tsahal pourrait- elle prévoir le développement des combats et les préparatifs des organisations terroristes en zone urbaine ?
Dans ces circonstances, Tsahal a agi convenablement et a averti préalablement la population palestinienne concernée par tous les moyens de communication possibles. Il serait juste et honnête qu’Amnesty International qui a pour vocation le respect des droits de l’Homme, félicite Tsahal et recommande aux autres armées de suivre ce procédé humanitaire. Les critiques nous surprennent, ainsi que le mutisme de cette organisation internationale devant la guerre psychologique déclarée du Hamas par le biais des messages SMS et la publication de communiqués à la presse. Ils ont un but précis: semer la terreur sur la population civile israélienne, qui souffre depuis de nombreuses années des tirs quotidiens des roquettes du Hamas.
Amnesty International et d’autres organisations des droits de l’Homme, tendent systématiquement à condamner les opérations militaires israéliennes dans les territoires qui sont sous le contrôle de l’Autorité palestinienne et du gouvernement du Hamas. Cette approche déséquilibrée du conflit est unilatérale. Elle reflète la réaction partiale dans le combat contre le Hamas et les organisations terroristes palestiniennes, que mène Israël depuis plus de 7 années consécutives. Les tirs de roquettes sur des agglomérations israéliennes à partir de la Bande de Gaza n’ont pas cessé un seul jour.
Ron Ben Yishai qui est commentateur militaire chevronné, a écrit dans un article publié le 20 janvier 2009 dans Ynet.
« Avant de lancer son opération contre le Hamas, l’aspect de la morale a rempli un rôle important dans les considérations de l’état-major israélien. Lors des préparatifs, des juristes et des intellectuels ont participé aux débats. En raison de ces considérations humanitaires, l’état-major de Tsahal a décidé de faire appel à la population civile pour que les personnes non impliquées quittent les quartiers visés en cas d’une attaque terrestre »
« Dans ce but, Tsahal et les services du Shin Bet ont effectué plus d’un quart de millions d’appels téléphoniques. Les personnes concernées ont été priées de quitter les lieux avec un préavis de plusieurs heures. Parallèlement, l’armée de l’Air a dispersé des milliers de tracts.
Ces opérations préalables ont été menées en dépit du risque que les objectifs militaires et les cibles pourront être divulgués. La majorité de la population locale a effectivement suivi les consignes israéliennes et ont quitté les régions mais une partie infime a été contrainte de ne pas abandonner les lieux en raison des menaces du Hamas et l’interdiction de partir »
Amnesty International n’a pas félicité Israël pour ses tentatives d’éloigner la population palestinienne des zones de combat, une décision à grand risque pour la vie des soldats israéliens; bien au contraire, l’organisation des droits de l’Homme a noté qu’il semblerait que ces appels téléphoniques étaient plutôt destinés à intimider les résidents Gazaouis et nullement les prévenir. Sur la base de cette prétention, Amnesty International a exigé de Tsahal de mettre un terme aux avertissements par appels téléphoniques. Dans un communiqué publié le 29 décembre 2008, l’organisation internationale affirme que ” les messages reçus par les résidents dans des immeubles abritant de nombreux appartements ont provoqué la panique aussi bien au sein des familles concernées que chez leurs voisins. La conduite des opérations de l’armée israélienne qui a été déjà expérimentée lors de la Deuxième guerre du Liban en juillet 2006, bafoue le droit international et devrait cesser immédiatement ».
Les arguments de l’organisation internationale sont absurdes. Amnesty International pose un défi impossible à relever. Tsahal peut-elle prévenir uniquement les citoyens palestiniens se trouvant en danger mortel? Tsahal ou le Shin Bet sont capables d’obtenir des renseignements détaillés et si précis de chaque résident palestinien de la bande de Gaza avec son adresse, son numéro d’appartement ou son téléphone ? Tsahal pourrait- elle prévoir le développement des combats et les préparatifs des organisations terroristes en zone urbaine ?
Dans ces circonstances, Tsahal a agi convenablement et a averti préalablement la population palestinienne concernée par tous les moyens de communication possibles. Il serait juste et honnête qu’Amnesty International qui a pour vocation le respect des droits de l’Homme, félicite Tsahal et recommande aux autres armées de suivre ce procédé humanitaire. Les critiques nous surprennent, ainsi que le mutisme de cette organisation internationale devant la guerre psychologique déclarée du Hamas par le biais des messages SMS et la publication de communiqués à la presse. Ils ont un but précis: semer la terreur sur la population civile israélienne, qui souffre depuis de nombreuses années des tirs quotidiens des roquettes du Hamas.